22ème Gala, concours blanc et accélération

Et voici le 50ème article sur ce blog ! Incroyable me direz-vous, que de parlote sur ce site qui, je l’espère, vous aide à mieux comprendre la PCEM1, à mieux l’aborder pour enfin l’aimer (ou pas). Cet article sera marqué sous le signe du 22ème Gala de Médecine, du concours blanc organisé par l’AEM² et sur mon état d’esprit pour terminer.

Commençons alors par le 22ème Gala de Médecine organisé à la faculté de médecine de Marseille. Je me languissais d’aller à cette soirée, j’avais fait mes emplettes bien avant, j’avais tout prévu… bref, j’étais prêt pour ma première soirée médecine. Et d’entrée de jeu, j’ai eu le droit au bonheur de la circulation en voiture en centre ville. C’est définitif : je hais la ville. Entre les sens interdits, les chauffards, les voitures garées n’importe comment ; comment ne voulez-vous pas vous énerver ? Même une personne normale (nota: qui n’est pas en PCEM1) aurait pu s’énerver. Mais bon, j’ai quand même pu embarquer ma cavalière dans ma voiture de course (avec 40 minutes de retard).
Arrivé devant la faculté, il à fallu faire la queue. Et bizarrement, c’était la même file d’attente qu’à Eurodisney, sans les barrières. Bref, une bonne heure de queue pour enfin rentrer et s’assoir tout au fond de l’amphi Toga, lieu du spectacle où nous n’étions pas si mal installés finalement. Nous avons alors assisté à un bon spectacle, avec un bon humour carabin, de bons danseurs/danseuses, de bonnes vidéos délirantes… Enfin bref, un bon spectacle qui m’a permis de décompresser un peu.
Une fois le spectacle terminé, nous sommes descendus jusqu’au grand hall de la faculté où se déroulait la fiesta ! J’y ai rencontré les amis du GGK et j’ai pu faire connaissance avec quelques personnes très sympathiques.
Enfin, c’est quelques pas de danse plus tard que nous nous en allons, ma cavalière et moi, vers… le McDo pour manger un bout parce qu’il n’y avait rien à manger sur place.  Et me voilà chez moi à 3h du matin, couché 3h30, levé 11h30 pour me préparer au concours blanc.

Ce fameux concours blanc ; le premier du deuxième quadrimestre. Il tombait 2 jours après le Gala de médecine, de quoi bien commencer mentalement. Nous avons commencé par de l’anatomie et de la biostatistique. Je me suis vautré en anatomie et je me suis surpris en biostatistique. Mais je me suis quand même bien planté en anatomie, ce qui m’a coûté quelques précieux points. Mais c’était sans compter sur l’aide de l’histologie et de l’embryologie qui m’ont tout autant coulé dans le classement général ! Et heureusement qu’il y avait la biophysiologie pour… encore plus me descendre. Au final je me retrouve classé 93ème/165, pas de quoi être fier surtout lorsque l’on sait qu’il reste 2 mois avant le concours. Enfin bon, je me rattraperai la prochaine fois comme on dit. En attendant, je me retrouve au fin fond des oubliettes du classement de l’AEM² et ça file une grosse gifle dans la figure ! Heureusement qu’il m’en faut plus et que ce concours blanc m’a permis de prendre le dessus sur mon précédent mental en carton.

J’ai alors décidé de donner un coup d’accélérateur au moment où quelques autres personnes se posent des questions. J’avais déjà dit ce genre de chose dans de précédents articles et je n’avais guère tenu. Alors je vais essayer de tenir mon engagement et de remonter la pente jusqu’à être calé sur n’importe quel cours (oui, même le rein). D’ailleurs quand on regarde tous les cours que l’on a accumulé depuis janvier, on se dit qu’il n’y en a pas tant que ça. Enfin si… y’a beaucoup de travail, des monticules des feuilles/poly/brouillons, mais comparé au premier quadrimestre où on avait 3 grosse matières, ici on en retrouve 6 dont 3 petite et 3 grosses. Du coup la charge de travail est plus largement répartie et on peut plus facilement travailler des cours simples lorsqu’on est fatigué qu’au premier quadrimestre.

D’ailleurs niveau cours, on est rentré dans le vif du sujet en physiologie notamment et un cours sur le coeur assez prenant. On retrouve aussi des cours d’anatomie sympa, bien que compliqués tout de même… mais cette éternelle SHS (Sciences Humaines et Sociales) hante les nuits de tous les P1 ! Et pourtant, c’est elle qui décide qui passe et qui ne passe pas en deuxième année. Alors autant prendre le taureau par les cornes et le combattre jusqu’au bout. D’ailleurs, je vais m’y mettre sérieusement à cette SHS. Même si j’ai du retard, ça me fait pas peur du moment que je suis motivé. Et puis j’aime les défis et la SHS en est un beau, alors allons-y !

Sur ce, je vous laisse avec ce 50ème article sur Cursus Médical ! J’espère que le site vous plait et n’hésitez pas à me laisser vos critiques en me contactant ou en laissant un commentaire. Si vous avez des questions, c’est la même chose. En attendant, je vous souhaite une bonne continuation !